Crise sanitaire a mis à mal le secteur économique.
2020
Cette crise sanitaire a mis à mal le secteur économique, beaucoup d’entreprises ont fermées ou alors ont dû ralentir leurs activités de production ou de service ainsi le chômage partiel a permis de préserver les emplois des salariés en CDI mais pour les personnes en contrats précaires jeunes et moins jeunes la situation pour eux est plus difficile.
C’est le cas particulièrement des saisonniers, des extras de la restauration, de l’événementiel et de certains intérimaires.
Nous prolongeons, pour la durée du confinement, les droits des demandeurs d’emploi arrivant en fin de droits en novembre et décembre.
Nous mettons en place une aide exceptionnelle : une garantie de revenu minimum de 900 euros par mois sur les mois de novembre, décembre, janvier et février, pour celles et ceux qui ont travaillé plus de 60% du temps en 2019 et n’ont pas pu travailler suffisamment en 2020.
Si le plan « 1 jeune, 1 solution » a permis un triplement des moyens à destination des jeunes, nous voulons garantir à chaque jeune qui s’engage dans un parcours vers l’emploi.
Un soutien financier sur mesure jusqu’à 500 euros par mois pour les jeunes sans ressources.
Un soutien individualisé d’accompagnement : c’est la garantie jeune.
Les étudiants sont souvent confrontés au risque de précarité, notamment par la perte de leur travail étudiant qui finance leurs études. Le gouvernement les accompagne :
Création de 20 000 jobs étudiants pour venir en soutien des décrocheurs via le CROUS.
Aides d’urgence : 45 000 bénéficiaires pour se loger et se nourrir.
Les repas au restaurant universitaire à 1 euro pour les étudiants boursiers.
https://www.lci.fr/economie/elisabeth-borne-annonce-une-aide-exceptionnelle-pour-les-travailleurs-precaires-2171134.html?fbclid=IwAR2iHD62jkXBFMdAYm7wr5s7VcrAedxcchFEeyJRUja2sv5TxbZK577voXA
Posté le 26/11/2020 dans la catégorie Infos Gouvernement, Travail Parlementaire
Pour plus de précisions sur cet article écrire à fabienne.colboc@assemblee-nationale.fr